Projet
Sophie de Quay
www.sophiedequay.com
Un jour, quelqu’un a déclaré : «La Suisse n’existe pas!» C’était il y a quelques années et c’était, à défaut d’être totalement vrai, pas totalement faux. Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts et la nouvelle génération de musiciens a décidé de laisser cet héritage encombrant au vestiaire.
A cet égard, le duo Sophie de Quay représente à merveille cette nouvelle génération ouverte sur le monde. Car si le QG du groupe se trouve effectivement à Genève, le binôme, augmenté d’un batteur pour les concerts, est presque toujours sur les routes. Toutes les routes. De la Suisse, donc, au Liban, en passant par la Chine, la francophonie et les Etats-Unis. En à peine trois ans d’existence, Sophie de Quay a donné près de 200 concerts dans une quinzaine de pays différents. Le tout armé d’une pop electro qui, maîtrisant les codes esthétiques actuels, sait se marier aux sonorités des musiques du monde. Pour assoir sa patte artistique, et puisque derrière chaque « grande femme » se cache un « grand homme », la chanteuse et «frontwoman» Sophie peut se reposer sur l’expérience et le talent de Simon, sortant des meilleures écoles de musique du pays et ayant écumé les scènes depuis des années dans de nombreux projets. Sur scène, la riche pop électro du groupe est d’ailleurs tenue de main de maître par le multi-instrumentiste, tandis que Sophie, a la voix puissante et habitée, créé un lien émotionnel et généreux avec le public. Pour que chacun embarque ensemble le temps d’un voyage.
Nomad with a mission
La route qu’est en train de tracer le duo s’appuie sur quelques valeurs irréductibles : l’amour de la musique, bien sûr, mais aussi l’ouverture d’esprit et le désir de rencontrer autrui. Les paroles de la chanson Building Bridges le clament
«I’m a dreamer, a globe trotter, I spend my life crossing borders, I’m a traveler, nomad with a mission, Changes come from education!»
Pour arriver à ses fins, le duo Sophie de Quay se donne les moyens de ses ambitions. Sans label ni maison de disques, son organisation désormais professionnelle lui garantit une totale indépendance et les outils adéquats pour forcer le destin. De l’audace, encore de l’audace. Pour rêver plus grand.
Why?
Depuis son premier EP en 2017 et son premier album Drop the Mask en 2018, le groupe multiplie les apparitions, tant scéniques que numériques, avec cette volonté de nouer des relations proches et durables avec ses nombreux fans. Dans ce nouvel album, composé et produit par le duo avec Tim Verdesca (ancien membre du groupe), enregistré à Paris dans le studio de Benjamin Constant et mixé par Lionel Capouillez au Studio Air de Bruxelles, Sophie propose d’ailleurs de poursuivre les ouvertures : elle y chante en anglais, en français et en chinois, pays que Sophie connaît bien pour y avoir séjourné à plusieurs reprises. Dans ses chansons, elle en profite également pour sonder l’âme de la « génération Y », génération désireuse de se débarrasser des héritages, là encore, encombrants.